L’art-thérapie ? Pourquoi ? Pour qui ?

Pour faire un travail sur soi, sur ses tourments, qu’ils soient affectifs ou structurels.
Pour trouver un soutien existentiel, mieux appréhender un quotidien devenu conflictuel.

Quelle différence avec une psychothérapie « classique » ? Ici, le travail repose sur la création.

L’objectif est d’amener la personne accompagnée à se réparer en « créant »,
Ce qui est souvent moins difficile et moins confrontant qu’en « parlant » !

Pour tout un chacun : développement personnel, douleurs psycho-somatiques, mal-être en lien avec un passé traumatique,
traversée des différentes crises de la vie : adolescence, grossesse, deuil, reconversion prof, burn-out, séparation/divorce…

Et, de plus en plus, au sein d’équipes médico-sociales, en complément du suivi psychologique
ou en entreprise, pour dynamiser les équipes et prévenir les risques psycho-sociaux.

Je suis particulièrement sensible :

  • à l’enfance : troubles relationnels ou comportementaux // Difficultés d’apprentissage, harcèlement, violence à l’école,
  • aux processus psychiques à l’oeuvre pendant la grossesse/les parcours de procréation médicalement assistés.

Peu importe ce qui entrave, l’important est de remettre du mouvement là où la vie ne circule plus, de re-donner du sens à ce que l’on vit.

Faire bouger les choses, « l’air de rien », voilà ce que produit l’art-thérapie.

« La forme c’est le fond qui remonte à la surface »

Victor Hugo